Comme dans n’importe quel programme de réhabilitation, les résultats peuvent varier d’une personne à l’autre.
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Petite amie d’un diplômé de Narconon
Tara S.
Quand on s’est rencontrés, mon petit copain ne prenait ni cocaïne ni héroïne ou d’autres drogues dures. Il aimait boire, et comme je venais d’avoir 21 ans à l’époque, cela me paraissait normal et je ne m’en suis pas fait. J’ignorais qu’il était alcoolique. Et puis, peu à peu, il a commencé à s’éloigner de moi, on se disputait tout le temps, beaucoup.
Il a commencé à prendre de l’héroïne et de la cocaïne, il avait beaucoup de problèmes qu’il n’avait jamais essayé de résoudre.
Ma meilleure amie était morte à cause de la drogue quand j’avais 15 ans. Donc, quand j’ai découvert que Jeff en prenait, cela m’a vraiment fait peur. Je pensais toujours que c’était ce qui allait aussi lui arriver.
Je fouillais toutes ses cachettes et je confisquais les aiguilles, les cuillères et tout ce que je trouvais. Je lui en parlais pour le mettre en face de l’évidence.
Et il continuait de mentir. On n’arrêtait pas de se disputer, et après, je ne l’ai plus revu. Il était parti à Narconon.
Je n’avais plus la force de continuer ainsi.
Il a donc terminé le programme. Vers la fin de novembre, j’allais chez ma tante pour célébrer une fête, et je roulais quand il m’a appelée.
Son attitude était complètement différente, comparée à ce qu’elle était la dernière fois que je lui avais parlé, 4 mois plus tôt, complètement différente.
Maintenant, nous sommes de nouveau ensemble. Nous ne nous disputons jamais, peut-être quelques arguments ici et là, mais rien de comparable à ce que c’était auparavant.
Nous envisageons de vivre ensemble et de passer notre vie ensemble, de nous marier et de fonder une famille.
Grâce à Narconon, l’avenir est devant nous.
C’est ce que nous voulons. Maintenant, c’est possible.